Photos couverture et auteur à disposition de la presse (crédits photo: Brigitte Besson).
Mentions
Le Temps, 29 février 2020, « Le Vaudois Bernard Utz signe un premier roman émouvant et visionnaire. […] «Un livre est comme une maison. En y entrant, vous serez peut-être surpris d’y croiser d’autres lecteurs. Apprenez à les connaître et à converser avec eux»: une très belle idée, et l’on verrait bien Un toit être adapté au cinéma. Le style est sans prétention et pourtant l’émotion passe, il a su trouver le ton juste dans un genre périlleux, la fable initiatique qui parle au cœur. «La douceur, ce n’est pas rien: tout le monde en a besoin.» Ce livre d’une belle simplicité, profond, intelligent, en contient beaucoup. » Julien Burri
La Liberté, 29 février 2020, « Faire son deuil comme on construirait une cabane. Dans une clairière intime, un peu à l’écart, aplanir le sol, puis monter des murs, un foyer, un toit. […] Bernard Utz signe un premier roman qui prend la forme d’un bref journal, il reste proche d’une langue simple, voire simpliste dans ses dialogues, conférant à son texte une allure de fable. Le tout dans une atmosphère comme suspendue, baignée de fantastique qui dilue la douleur en légèreté. » Thierry Raboud
Le Messager, 6 mars 2020, « Bernard Utz signe un premier roman tendre et émouvant. L’auteur de 32 ans conte le parcours d’un homme qui a choisi une vie d’ermite et retrouve sa femme décédée, grâce aux livres qu’elle lui a laissés. Des pages écornées qui sont autant de promesses de retrouvailles inespérées avec sa Célestine. […] » Valentin Jordil
Le Courrier, 13 mars 2020, reprise de La Liberté.
Newsletter QWERTZ RTS, 13 mars 2020, « Après la disparition de sa compagne, Joseph plaque tout pour construire une cabane près d’une forêt et s’y réfugier avec ses livres. Au fil de ses lectures, il retrouve de manière fugace celle qu’il aime, et consigne dans son carnet ses réflexions du quotidien. Sensible, dense et modeste. L’heureuse découverte d’une plume romande. » Jean-Marie Félix
Journal de Cossonnay, 27 mars 2020, « Conte philosophico-fantastique, «Un toit», premier roman de Bernard Utz, met en scène avec une simplicité émouvante Joseph, un homme que l’on imagine dans la quarantaine; il a perdu sa femme, Célestine, l’amour de sa vie et ne parvient pas à faire le deuil. » Marie Nora
La Gruyère, 2 avril 2020, « Premier roman de Bernard Utz, Un toit prend la forme d’un conte philosophique. Le jeune auteur marie parfaitement l’imagination aux difficultés concrètes que rencontre le néo-ermite. Quant à l’idée magnifique des lecteurs qui laissent une trace dans les ouvrages aimés, elle ajoute à l’histoire d’amour brisé un étonnant hommage à la puissance infinie des livres, cet autre refuge. » Eric Bulliard
Le Courrier Lavaux Oron Jorat, 9 avril 2020, « Très beau roman, peut-être un peu court, c’est le seul bémol. Mais à conseiller. Vraiment. Ce n’est pas un roman triste. Juste un parcours de vie à un moment donné. » Monique Misiego
RTS-info: L’invité du 12h30, 22 mai 2020, « Premier roman publié du jeune auteur fribourgeois Bernard Utz, Un toit raconte l’histoire d’un homme qui a perdu sa compagne mais qui la retrouve à travers les livres qu’elle a lus et aimés. Comment survivre à la mort de celle ou celui qu’on aime? Et si on s’autorisait à ne pas «faire son deuil»? Bouleversante quête d’amour entre rêve et folie, hommage fantastique au pouvoir des livres. […] » Yves Zahno
RTS La librairie francophone, 30 mai 2020. Coup de cœur de Dominique Bressoud, de la Librairie Une petite prose, à Boudry. (dès min. 50)